SOUK AHRAS : Une ville sans hotels

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SOUK AHRAS

 

Une ville sans hotels

 

La région de Souk Ahras recèle des richesses naturelles et des potentialités touristiques capables de la hisser au rang de celles existant de l’autre côté de la frontière.

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Lieu de transit par excellence, la wilaya peine à attirer des dizaines de passagers à cause du manque de structures hôtelières. Les familles en provenance de Tunisie ou celles des wilayas de l’intérieur du pays désirant franchir la frontière Est optent souvent pour Annaba, ville touristique dotée de moyens et nettement mieux lotie en matière d’accueil et de personnel qualifié. Le tourisme culturel prisé notamment pour le circuit Thagaste-Khemissa-Madaure et malgré une moyenne de 500 visiteurs/l’an, est loin d’atteindre les résultats escomptés. Leur passage à Souk Ahras ne dure souvent que quelques heures et ce pour la même raison évoquée plus haut.« Révolutionner les mentalités et convaincre les promoteurs à investir dans ce secteur pécuniairement prometteur à Souk Ahras n’est pas une sinécure. Nous continuons toutefois notre travail d’information et de sensibilisation mettant surtout en relief les avantages des investissements dans notre secteur. Parallèlement, nous avons récemment amélioré les conditions d’accueil des hôtels non classés et ce grâce aux visites inopinées effectuées régulièrement par nos contrôleurs », nous a déclaré M.Titah, directeur du tourisme. S’agissant des hôtels classés, le même responsable dira « Nous projetons la réouverture du complexe Sidi Messaoud dont le propriétaire installé en France a récemment émis le vœu de contribuer à redynamiser le secteur dans sa wilaya d’origine et participer par voie de conséquence à son essor socioéconomique. L’hôtel Medjerda et au moins six autres projets sortiront à coup sûr le secteur de sa léthargie et réduiront des réticences constatées ça et là ». Rencontré il y a quelques semaines, le promoteur du Medjerda, en l’occurrence M.Brahimi, a de son côté reconnu l’importance de la région et insisté sur les potentialités naturelles capables de drainer un nombre impressionnant de visiteurs « pour peu qu’elles soient réellement mises en valeur ». Et de conclure : « Si les conditions sont réunies je ne vois pas d’inconvénient pour l’installation d’un complexe tout près des ruines de Madaure ». Des projets de motels ont été également prévus par la direction du tourisme pour la zone est de la wilaya.

A. Djafri  El Watan

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 20/06/2008 par Webmaster.

Logements CNEP : Résiliations de contrats et mises en demeure

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SOUK AHRAS

 

Logements CNEP 
 Résiliations de contrats et mises en demeure

Des dizaines de mises en demeure et autant de résiliations de contrats de location ont été récemment adressées aux attributaires des 360 logements réalisés par la CNEP de Souk Ahras en 2002, dans le cadre de la promotion immobilière.

 

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Avérés, plus tard, un fiasco, ces derniers ont dévoilé, faut-il le noter encore une fois, la précipitation des responsables, lancés dans la réalisation d’appartements qui n’ont jamais trouvé preneur à cause de leur coût jugé très élevé. Après avoir subi des actes de vandalisme pendant quatre années, ces unités, récupérées par les services de la wilaya dans un état de dégradation avancée, ont été attribuées sous forme de quotas aux différentes directions. Lesquelles directions ont procédé à l’étude et au classement des postulants parmi leurs employés, conformément à un barème officiel. Ayant eu vent de l’existence sur les listes d’indus bénéficiaires, l’ex-wali de Souk Ahras a demandé l’ouverture d’une enquête. Des visites inopinées, dirigées les mois d’avril et de mai derniers, par les services de la direction des Domaines, ont confirmé les doutes du même responsable et permis de cerner des dizaines de cas de sous-location, de logements abandonnés depuis plus d’une année, de ventes sans documents et d’appartements transformés en lieux de rencontres intimes. Notre source, qui a parlé dans l’abstrait de bénéficiaires mis en demeure et de plusieurs résiliations de contrats de location, n’écarte pas le recours à la justice pour quelques cas de personnes prises en flagrant délit. Notre même source a également révélé l’existence de bénéficiaires à l’abri du besoin, dont plusieurs cas de propriétaires de lots de terrain constructibles et de logements dans d’autres communes, notamment au chef-lieu de la wilaya.



Par A. Djafri El Watan

 

 

 

 

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SOUK AHRAS: Une ville prise en otage

 

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SOUK AHRAS

Une ville prise en otage

 

 

S’il y a une ville en Algérie que l’on doit juger pour la dégradation de ses artères principales et l’anarchie qui y règne, le verdict pour Souk Ahras sera sans appel. Autrefois squattant les trottoirs, les marchands ambulants, dont le nombre va crescendo, ont carrément transformé les rues Victor Hugo, les Fidayine et Ibn Badis en bazars grandeur nature où l’on étale, à même le sol, chaussées incluses, effets vestimentaires, pain, jouets, portables et autres objets hétéroclites.

 

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Piétons et automobilistes sont contraints, pendant les heures de grande affluence, de rebrousser chemin et chercher une issue dans un labyrinthe où s’enchevêtrent, dans une anarchie indescriptible, des ballots de fripes, des cageots et des étals de fortune.

Les automobilistes, qui décident crânement de se frayer un chemin parmi la foule compacte, risquent de percuter des citoyens ou de subir l’ire des vendeurs.

Ces derniers ne lésinent ni sur les mots ni sur les moyens pour vous convaincre qu’il s’agit d’un espace commercial.

Ayant compris, depuis belle lurette, l’ampleur de la démission des responsables, les commerçants sédentaires squattent leur espace immédiat ou louent carrément une partie de leurs façades qu’il aménagent eux-mêmes, mettant ainsi fin au jeu du chat et de la souris.

Victimes d’un immobilisme outrageant de la part des instances compétentes, ces commerçants sont autant responsables que leurs « encombrants associés » pour ce qui est du non-respect de la voie publique.

Des pots énormes, des chaises, divers obstacles et autres innovations en fer forgé sont érigés par ces mêmes commerçants, au vu et au su de tout le monde, devant leurs magasins pour interdire le stationnement des véhicules.

Dans ce climat de promiscuité et d’anonymat prospèrent les voleurs à la tire, les charlatans et les vendeuses de charme. Même décor à la rue Ouarti Abderrahmane, Hrirech Abdellatif, ainsi qu’à la place de l’Indépendance.

La nuit, à Souk Ahras, apporte un autre lot de misères : nuisances sonores provoquées par le vrombissement des moteurs des véhicules et des motos qui s’adonnent souvent à des cascades en plein centre-ville ou agressent les citoyens à coups de décibels depuis leurs radios, des dizaines de chiens errants à la rue du Maroc, malades mentaux agressifs en tenue d’Adam et autres désagréments causés par l’insalubrité des lieux et l’état poussiéreux des chaussées.

Résultat de plusieurs décennies de replâtrage et de populisme partisan, les citoyens de la ville de Souk Ahras se plaignent, aussi, de la voracité de la mafia du foncier qui a transformé des anciennes zones d’extension en cités-dortoirs sans âme, grignotant les rares lots épars restant d’une campagne de « ruralisation de la ville ».

Ni aire de détente, ni jardin public ni boulevard digne de ce nom n’y ont vu le jour depuis la promotion de Souk Ahras au rang de chef-lieu de wilaya.



 A. Djafri El Watan

 

 

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Foire internationale de SOUK AHRAS

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SOUK AHRAS

FOIRE INTERNATIONALE

Quatre pays des huit initialement annoncés se sont donnés rendez-vous à la salle des fêtes Djouad Noureddine de Souk Ahras afin de participer à cette manifestation économique et commerciale qui s’étale jusqu’au 10 juin.

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Après la défection du Sénégal, l’Inde, l’Iran et la Turquie c’est finalement l’Egypte, la Syrie, la Chine et la Palestine qui se sont joints aux exposants de Annaba, Constantine, Sétif, Temcen et d’autres, pour venir égayer les étals de cette foire avec notamment des bijoux, du prêt-à-porter, des salons et autres objets de décoration de haut standing. Des friandises syriennes ont été également présentées, une première à Souk Ahras qui aurait mérité d’être organisée dans un espace plus grand afin de pouvoir contenir la foule venue faire du shoping.

 qui se sont joints aux exposants de Annaba, Constantine, Sétif, Temcen et d’autres, pour venir égayer les étals de cette foire avec notamment des bijoux, du prêt-à-porter, des salons et autres objets de décoration de haut standing. Des friandises syriennes ont été également présentées, une première à Souk Ahras qui aurait mérité d’être organisée dans un espace plus grand afin de pouvoir contenir la foule venue faire du shoping.

K.Mehri

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SOUK AHRAS : Le nouveau wali installé

SOUK AHRAS

Le nouveau wali installé

 

M. Yazid Zerhouni, ministre de l’Intérieur, a procédé hier à la salle de délibération de l’APW, à l’installation du nouveau wali de Souk-Ahras, M. Fatmi Rachid, en remplacement de M. Tahri Miloud. La cérémonie s’est déroulée en présence des directeurs de l’exécutif et des élus.

 

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Au cours d’une brève allocution, le représentant du gouvernement a dressé un bilan positif du développement de la wilaya par l’ex-wali puis a rappelé le parcours professionnel du nouveau wali. Ce dernier, diplômé de l’Ecole nationale d’administration en 1977, a occupé les postes de chef de daïra de Aïn-Aménas, Merouana puis wali de Médéa, Skikda, El-Oued, Batna et Béjaïa.
 M. Zerhouni a rappelé le montant global de l'enveloppe  financière dont a bénéficié cette wilaya entre 1999 et 2008, soit 15,88 milliards  de dinars dans le cadre du programme d'équipement de l'Etat et qui a permis  de prendre en charge les besoins fondamentaux des citoyens et assurer la réalisation  et la réhabilitation des infrastructures de base nécessaires à son développement  socioéconomique.         
Le ministre a souligné, par ailleurs, que de nombreux projets sont en  cours de concrétisation, tels que la réalisation de 61 km de réseaux d'électrification  rurale au profit de 365 foyers et de 23 km de réseaux de gaz naturel au profit  de 260 foyers ainsi que le déplacement du gazoduc traversant la ville de Souk  Ahras sur 14,2 km.        
 La réalisation du programme en cours permettra l'amélioration des taux  de raccordement en électricité et au gaz naturel qui vont passer respectivement  de 95% à 97% (moyenne nationale 96%) et  de 53% à 57% (moyenne nationale 36%).         

Barrour Yacine et APS

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Quartier El Amen : Le diktat des transporteurs

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SOUK AHRAS

Quartier El Amen

Le Diktat des transporteurs

Par Noureddine  D.

Les panneaux d’interdiction de stationnement mis en place ne font que décorer l’espace. Et tous les rapports établis sont restés lettre morte.

 

Insalubrité, tapage, dégradation et autres désagréments qui n’en finissent pas. Le citoyen, en plus de son quotidien difficile vu la cherté de la vie, n’arrive pas à s’offrir un cadre de vie agréable, y compris chez soi. Il n’arrive ni à dormir tranquillement ni à se mettre devant chez lui sans qu’il ne soit dérangé. Les exemples ne manquent pas. Ces derniers temps, les quartiers de Souk Ahras sont devenus des parkings. Les propriétaires des véhicules aussi bien légers que lourds, «semi-remorques et autobus » cherchent une place pour stationner. Quant aux désagréments causés aux riverains, ils sont innombrables.
Les rues Frantz Fanon et Abdelaziz Kader, situées en plein centre ville  est l’exemple type résumant cette situation. L’état des lieux n’inspire aucune quiétude. Ce quartier est devenu un parking géant pour les taxis, les fourgants et les bus. La présence de ces véhicules représente un danger permanent pour les élèves de l’école primaire Pasteur et la Crèche. La situation perdure depuis longtemps en dépit des maintes réclamations des résidents adressées aux autorités concernées. Ces dernières ont, certes, interdits le stationnement au sein du quartier. Qu’à cela ne tienne. A ce jour, les panneaux d’interdiction de stationnement mis en place ne font que décorer l’espace. Et tous les rapports établis sont restés lettre morte. Dans une requête signée par des dizaines de citoyens, tous résidents quartier El Amen adressée au président de l’APC de la ville, «Nous interpellons les autorités concernées à agir d’urgence pour mettre le holà à cette situation désagréable. Notre quotidien est altéré par l’atmosphère sombre qu’engendre la présence d’un tel parking improvisé au sein de notre quartier», ont-ils écrit. D’autant que les chauffeurs n’hésitent pas à procéder à des réparations mécaniques sur place. Un atelier de mécanique à ciel ouvert.
Les rues baignent constamment dans des taches d’huile et de mazout. Et c’est l’image du quartier qui en pâtit. «Les trottoirs sont squattés par ces engins et les détritus s’amoncellent au vu et au su de tous», lit-on dans la requête. Et dire que les habitants de cette cité n’ont cessé de frapper à toutes les portes aussi bien des services de sécurité, de la commune et même du procureur général, dans l’espoir de rappeler à l’ordre les propriétaires de ces véhicules. En vain. «Rien que des promesses», souligne un
riverain.

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commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 08/06/2008 par Noureddine D.

SOUK AHRAS: l'indifférence comme réponse à la misère

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SOUK AHRAS

 

l'indifférence comme réponse à la misère 

 

Par Souheila G

 

La ville de l’antique THAGASTE est une petite ville magique. Ici s’entremêlent mythes, légendes et mystères. Mais sa beauté et sa notoriété internationale cachent mal la dure réalité du quotidien d’une frange de la société. Des femmes seules ou accompagnées par leurs enfants peuplent à longueur de journée de nombreux endroits de la ville, notamment les allées où les va-et-vient ne s’arrêtent presque jamais.

 


Allongés à même le sol, les petits enfants presque nus font la manche, malheureusement leur détresse ne semble toucher personne. Des scènes poignantes sont livrées chaque jour à des centaines de passants par des enfants totalement abandonnés. Ces êtres innocents, qui auraient pu avoir leur part de bonheur et d’affection, sont jetés en pâture en l’absence d’une
prise en charge face à une société indifférente. Les jeunes mères, des femmes frustrées, croulent sous une avalanche de complexes et de privations. Il s’agit en fait de femmes divorcées et de mères célibataires qui vivent à l’écart et qui constituent un groupe social bien à part. En effet, elles passent leurs journées à errer dans les rues du centre ville cherchant des âmes sensibles à leur désarroi pour leur venir en aide . A Souk Ahras, le bureau de la Direction de l’action sociale (DAS), où des malheureuses et pauvres femmes avec leurs enfants passent le plus clair de leur temps, ne désemplit jamais. Il est vrai que face à une société indifférente, cette structure de l’Etat reste leur seul et unique soutien pour une éventuelle assistance, le plus souvent improbable. C’est tout le drame qui se déroule à ciel ouvert dans la wilaya de Souk Ahras qui appartient  semble t-il à l’Algérie de 150 milliards de dollar !

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 08/06/2008 par Souheila G.

SOUK AHRAS: Un réseau de contrefacteurs démantelé

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SOUK AHRAS

Un réseau de contrefacteurs démantelé

Malgré les nombreuses affaires traitées par la Gendarmerie nationale dans la lutte contre le trafic de devises et la fausse monnaie durant le premier semestre de cette année, la contrefaçon de la monnaie est en passe de prendre une dimension démesurée.

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Pas plus tard que mercredi dernier vers 17h, les gardes-frontières de la Gendarmerie nationale (GGF) de la daïra de Taoura (wilaya de Souk-Ahras), exploitant des informations qui leur sont parvenues sur une bande de faux monnayeurs, et après des investigations exhaustives, ont neutralisé le groupe présumé du réseau composé de 3 personnes, âgées entre 28 et 32 ans, à bord d’un véhicule touristique au cours d’un barrage au lieu dit Rmal El-Souk, relevant de la wilaya d’El-Tarf. Dans le même contexte, le 26 mai dernier, une affaire de contrefaçon de billets de banque en dinars algériens, euros et de vignettes automobiles a été découverte. Le réseau spécialisé dans la fausse monnaie a été démantelé par la brigade de la gendarmerie de la daïra d’Oum El-Ladaïem au cours d’un contrôle sur la RN 20. En procédant à la fouille d’une voiture, il s’est avéré que la vignette était fausse. Une enquête a été ouverte en vue de connaître les tenants et les aboutissants de cette affaire. Après l’interrogatoire, l’inculpé a dénoncé trois de ses acolytes activant dans la daïra de Sedrata. Les éléments de la gendarmerie ont perquisitionné un local commercial de vente de matériel informatique de l’un des complices, ce qui a permis la découverte de faux billets de 200 DA, d’euros ainsi que le matériel destiné à la confection de faux billets. Des micro-ordinateurs, une photocopieuse couleur, un scanner, un cachet rectangulaire ont été récupérés. Les trois inculpés, âgés de 32, 37 et 23 ans, ont été écroués par le juge d’instruction.

Barour Yacine  Le Soir d'Algérie

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SOUK AHRAS : 6.428 candidats pour le bac

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SOUK AHRAS

6.428 candidats pour le bac

 

6.428 candidats se présenteront ce samedi aux 29 centres d’examen au niveau de la wilaya afin de franchir le dernier obstacle avant la vie universitaire, le baccalauréat.

Cette année sera sans doute une année exceptionnelle puisqu’on assistera à deux catégories de candidats : les élèves issus de l’ancien système au nombre de 3.670 candidats dont 2.157 libres, et ceux issus du nouveau système de nombre de 2.758 dont 178 libres. A ce sujet, 1.488 surveillants sont mobilisés pour l’encadrement des 372 salles d’examen, avec notamment 5 surveillants par salle pour les candidats libres. La tutelle veut ainsi finir avec la tricherie qui a pris de l’ampleur les années précédentes, et surtout — et c’est le plus important — avoir une évaluation plus objective du niveau des élèves et des efforts fournis dans le secteur qui entame ainsi la dernière ligne droite des réformes éducatives entreprises, il y a 5 ans. Dans le souci de donner assurer plus de crédibilité à ces épreuves, 4 observateurs par centre, issus des wilayas limitrophes, auront la tâche de tout superviser et de communiquer directement au ministère toute infraction commise par un candidat ou un encadreur, de même que les surveillants remplaçants ne quitteront pas les lieux, mais occuperont les couloirs afin de parer à toute tentative de tricherie. C’est-à-dire que les réformes éducatives sont mises à l’épreuve cette année avec deux examens en lice, la 5e année primaire, et le baccalauréat, dont la réussite ou l’échec détermineront le sort de ces réformes sur lesquelles l’opinion reste partagée entre optimisme et réserve, surtout vu le sujet de français proposé aux candidats de la 5e AP qui n’était pas à la portée de la majorité des élèves de l’Algérie profonde, et qui a soulevé le courroux de tout le monde : parents, enseignants, directeurs et inspecteurs. D’ailleurs, les résultats parus hier le prouvent, les notes de français sont catastrophiques, et les pourcentages de réussite (sans rachat) variaient entre 50 et 70% selon les établissements, alors qu’on s’attendait à plus de 90%. Les épreuves du baccalauréat, par contre, ne doivent pas poser de problème, le seuil national étant largement dépassé, les chapitres autour desquels tournent les sujets de composition étant affichés d’avance dans les établissements scolaires.
On s’attend, selon le directeur de l’éducation, à un taux de réussite oscillant entre 50 et 60%

Par : K. Mehri   Midi Libre
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SOUK AHRAS : L’élevage bovin non maîtrisé
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SOUK AHRAS
 
L’élevage bovin non maîtrisé

Dans la wilaya de Souk Ahras, comme dans beaucoup d’autres régions du pays, rares sont, de nos jours, les éleveurs qui ont monté avec succès un élevage bovin laitier.



Nombre de fellahs, en effet, ont vérifié à leurs dépens qu’il ne suffit pas de construire une étable et acquérir de belles vaches, généralement importées, pour devenir un producteur de lait. Non, estiment les spécialistes en la matière, il faut beaucoup d’autres choses, notamment une bonne formation dans le domaine, pour espérer pouvoir conduire un troupeau de vaches laitières. Tout le monde le sait maintenant : en aval, l’Etat a formé des vétérinaires, des ingénieurs et des techniciens agronomes, mais en amont, plus précisément au niveau de l’étable, rien ou presque n’a été fait. Tous les vétérinaires et les techniciens en santé animale qui interviennent régulièrement sur le terrain vous le diront : des éleveurs de bovins ignorent jusqu’à l’existence des chaleurs chez une vache. D’autres encore, ne sachant pas ce qui est un plan de prophylaxie, ne font appel au vétérinaire que quand cela ne va plus, quand il est déjà trop tard, pour se voir délivrer généralement un certificat d’abattage d’urgence. Pour l’anecdote, il y a même des éleveurs de bovins qui continuent à refuser catégoriquement l’insémination artificielle, dont les frais sont pourtant remboursés. Résultats des courses : l’Algérie importe massivement du lait en poudre et continuera certainement à le faire durant les prochaines années. Que dire encore de l’élevage bovin laitier, sinon qu’il est vraiment temps que le ministère de l’Agriculture se penche sérieusement sur cette filière stratégique. C’est bien beau d’initier des programmes d’aide aux éleveurs de bovins, mais encore faut-il que ces éleveurs soient dignes de ce nom, c’est-à-dire formés

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 04/06/2008 par M. BENSLAMA.

Le pouvoir d’achat des Souk-Ahrassiens érodé

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SOUK AHRAS

Le pouvoir d’achat des Souk-Ahrassiens érodé

Par Souheila G

 

Cette flambée des prix est certainement l’une des plus spectaculaires depuis le début de l’année. Les prix des produits d’alimentation de base, de légumes et fruits, frôlent en ce bouillonnant juin le « déraisonnable ».

 

Des augmentations sauvages, fruit d’un « racket consensuel », qui font du modeste consommateur Souk-Ahrassiens leur cible privilégiée. L’été n’en sera que plus chaud. Il l’est déjà à Souk-Ahras. Au marche d’El Gantra, réputé pourtant jadis pour ses prix « discount », les étals de fruits et légumes prennent… feu. « Ennar techâal fe l’khodra (les légumes sont hors de prix) », lance en sueur une hadja, venue faire de « maigres » emplettes. Au marché central, comme partout ailleurs dans la ville, les prix explosent et rien ne semble pouvoir arrêter ou même atténuer un tant soit peu cette hausse que d’aucuns n’arrivent ni à expliquer ni même à comprendre. Les détaillants, à la manière de Ponce Pilate, s’en lavent les mains. Ceux que nous avons rencontrés  se mettent au-dessus de tout soupçon. « Les gens nous considèrent comme des voleurs alors que nous ne faisons que suivre les cours du marché », se défend un commerçant. Un « marché » régi selon lui par « al ârd oua talab (l’offre et la demande) ». Un argument souvent mis en avant par les officiels eux-mêmes pour justifier les bonds de géant que font quotidiennement les prix. Certains produits ont augmenté sensiblement par rapport à l’année dernière, allant dans plusieurs cas de 20 DA à 40 da. « Nous avons moins de production que l’année dernière à cause de la saison cassée. » D’après le marchand, le décalage observé cette année de la saison des pluies a fait des ravages dans les plantations maraîchères. Hamid, son voisin de « table », est moins météorologue. Barbe fournie, il regrette, avec cet air d’il était une fois la nostalgie, les temps anciens où le marché central jouissait de cette solide réputation de marché populaire. « Gaâ les marchés kif kif (tous les marchés se valent désormais) parce que rana fi aâm echar (on est dans l’an de misère) », tempête le vieux. « C’est la première fois que je vois cela depuis que j’ai commencé ce métier il y a 25 ans. Que Dieu nous vienne en aide, car avec des prix pareils, je plains sincèrement la table du guelil (pauvre) », constate-t-il. Les « responsables » d’une telle situation, il faut aller d’après lui les chercher « ailleurs ». « L’Etat ne fait rien pour remettre de l’ordre dans les marchés de gros, pris en otage par les mandataires, ni dans les marchés de proximité, dominés par les marchands informels », assène-t-il.

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commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 02/06/2008 par Souheila G.

11 fonctionnaires du secteur sanitaire de Sedrata convoqués devant le juge

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SOUK AHRAS

11 fonctionnaires du secteur sanitaire de Sedrata convoqués devant le juge

L’affaire du secteur sanitaire dans la daïra de Sedrata où plusieurs cadres ont été interpellés, dont l’ex-directeur muté en juillet dernier à l’hôpital d’El-Harouch, wilaya de Skikda, vient de connaître de nouveaux rebondissements, apprend-on d’une source crédible.

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Cette affaire, qui a fait couler beaucoup d’encre et qui suscite de nombreuses interrogations parmi l’opinion locale, va être jugée dans les semaines qui viennent par le tribunal de Sedrata. Notre source a indiqué que ces fonctionnaires ont été convoqués pour le mardi 3 juin afin de comparaître pour enquête devant le juge d’instruction chargé de cette affaire, au même titre que l’ex-directeur de l’hôpital Houari- Boumediène, l’économe, le chef de parc et d’autres travailleurs du secteur de la santé. Tout a commencé au lendemain d’une dénonciation par un employé du même établissement, dans une missive, de graves dépassements dans la gestion de l’hôpital. Ce qui a, rappelons-le, nécessité plus de 10 mois d’enquête et d’investigations par les services de la Gendarmerie nationale qui ont travaillé d’arrache-pied dans cette affaire de dilapidation de deniers publics, faux et usage de faux, surfacturation, attribution de projets fictifs, d’autres entachés d’irrégularités, falsification de documents administratifs, dépenses abusives, trafic d’influence, qui composent les chapitres essentiels du dossier épluché par les enquêteurs et présenté à la justice, selon une source sûre. Autant de charges suffisantes pour établir un dossier qui ne semble pas encore ficelé.


Barour Yacine
  Le Soir d'Algérie

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Célébration de la Journée mondiale de l’enfant

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SOUK AHRAS

Célébration de la Journée mondiale de l’enfant

Ambiance festive et remise de dons

Une ambiance festive a régné, hier, à l’intérieur de la polyclinique de ladite commune. Ont participé à cet acte de bienfaisance des médecins de Souk Ahras et autres sympathisants de cette association dont la notoriété a dépassé les limites de la wilaya. Comptant parmi ses membres des professeurs d’enseignement secondaire et des médecins, l’association sillonne, depuis sa création, les régions les plus reculées de la wilaya en quête d’enfants défavorisés et ceux souffrant de maladies chroniques. « Nous oeuvrons pour le protection des enfants et travaillons sans relâche pour leur épanouissement. C’est notre devoir à tous pour peu que d’autres partenaires s’impliquent », a conclu Youcef Bourdjiba, président de l’association, tout en promettant d’autres sorties. A Sédrata, pas moins de 1 800 enfants des wilayas de Guelma, Annaba, Tébessa, Oum El Bouaghi et Souk Ahras ont été regroupés par l’association de la protection et la promotion des vestiges de Sédrata, pour participer à une randonnée organisée en étroite collaboration avec la maison de jeunes Laouar Laïd. Les enfants des cinq wilayas conviées à ce rendez-vous ont eu l’occasion d’apprécier les sites historiques dont regorge la région et de contempler le paysage pittoresque.

A. Djafri

 

L’association caritative Tawasel a jeté son dévolu, pour célébrer la journée mondiale de l’enfant, sur la commune enclavée de Ouled Driss, où des effets vestimentaires et des lots de médicaments ont été remis à des dizaines d’enfants démunis.

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L'émeute comme ultime recours

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 DEVANT UN POUVOIR AUTISTE

L'émeute comme ultime recours


Par Nawal Imès Le Soir d'Algérie

Il ne se passe plus un mois sans qu’une émeute n’éclate. La colère monte dans plusieurs régions. Les manifestations violentes deviennent l’ultime recours pour exprimer colère et frustration. Face à des autorités locales qui font la sourde oreille, les populations ne trouvent plus d’autres moyens que de tout saccager pour attirer l’attention sur leur vécu. Le pouvoir central, incapable de trouver une parade, se contente de jeter l’anathème sur «certains » partis politiques ou mieux encore sur cette satanée main manipulatrice de l’étranger.

 

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Nawal Imès - Alger (Le Soir)- La réalité est pourtant implacable : la rue gronde. Après El Hadjar (Annaba) en janvier, Gdyel (Oran) et Chlef en avril, c’est Berriane puis Oran qui se sont embrasés. Les causes sont différentes mais le ras-le-bol est le même. A Annaba, plus précisément dans la daïra d’El Hadjar, de jeunes chômeurs ont bloqué tous les accès menant au complexe d’Arceloor Mittal afin de réclamer du travail. La manifestation qui a vite tourné à l’émeute a nécessité l’intervention des forces antiémeutes. Huit jeunes ont été interpellés. Ils ont fait l’objet d’une citation directe et ont comparu à la barre des accusés pour répondre d’«attroupements non autorisés et troubles à l’ordre public.» Le 15 avril dernier s’était au tour de Gdyel, petite commune de la wilaya d’Oran de se révolter. A l’origine de la colère des jeunes, la contestation de la liste des bénéficiaires des fameux 100 locaux commerciaux. Les échauffourées qui avaient éclaté ont duré deux jours et se sont soldées par d’énormes dégâts matériels : le siège du tribunal, deux bureaux de poste, le siège de la Cnas ont en effet été saccagés. Le 28 avril, Chlef a rejoint la liste des villes contestataires. Les violentes manifestations se sont soldées par l'arrestation de plusieurs dizaines de jeunes. A l'origine de ces événements, l'annulation de l'aide financière accordée aux victimes du séisme de 1980 dans le cadre de la loi de finances 2007. En effet, l'article 99 de cette loi accordait aux sinistrés une aide de 1 million de dinars et 1 million de dinars supplémentaires sous forme de crédit avec des taux d'intérêt bonifiés ne dépassant pas 2%. Les émeutes qui avaient jusque-là épargné le sud du pays, ont fini par s’y propager. Berriane a été secouée à quelques semaines d’intervalles par des manifestations d’une rare violence. Une altercation entre jeunes s’est, en effet, transformée en de violentes émeutes. Les deux communautés composant Berriane se sont affrontées, causant le décès d’au moins deux personnes. Il ne s’agit-là que d’émeutes qui surviennent dans de grandes agglomérations, ce qui permet à l’information de circuler. Régulièrement, un vent de protestation souffle sur de petites bourgades sans que cela soit connu du grand public. Il n’est pas rare que des citoyens coupent la route, investissent le siège de la commune ou brûlent des édifices pour crier leur colère. Côté officiel, la réaction est toujours la même. La thèse de la manipulation est toujours privilégiée. Pas plus tard qu’hier, le ministre de l’Intérieur déclarait à partir de Chlef : «Nous avons, ici, la preuve que ces mouvements de violence et de saccage qu'à connus la ville de Berriane ont été provoqués. Nous n'excluons pas la manipulation. » Zerhouni a ajouté qu’«il y a eu inculpation de 4 personnes, dont deux demeurent en fuite, et la saisie de 6 ordinateurs, dans lesquels il y avait des tracts faits au nom de la communauté mozabite et d'autres au nom de la communauté dite arabe. Ces tracts incitaient à la violence, à l'exclusion de l'autre et au nettoyage ethnique. » Une réaction «classique » assortie d’instructions données aux forces de l’ordre d’éviter au maximum les affrontements avec les émeutiers, et à la justice d’être clémente avec ceux arrêtés pour troubles à l’ordre public. Un antidote à l’émeute qui n’arrive manifestement pas à contenir la colère qui gagne de plus en plus de régions.

commentaires 1 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 31/05/2008 par Nawal Imès.

La cité Laghirou à l’abandon
 

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SOUK AHRAS

 La cité Laghirou à l’abandon

Transformée en décharge publique malgré elle, cette agglomération reçoit quotidiennement des quintaux de détritus abandonnés par des citoyens en mal de civisme, et autres déchets déversés par des constructeurs de nouveaux bâtiments dans les quartiers limitrophes. Des immondices jonchant le sol, des odeurs pestilentielles, des rongeurs qui se déplacent en toute quiétude et des nuées de moustiques font partie du décor hideux de ce quartier. L’élevage des animaux domestiques y est devenu monnaie courante, et la prolifération des chiens errants représente une menace permanente pour les riverains qui ne cessent de tirer la sonnette d’alarme quant aux proportions atteintes par ce phénomène. L’un des citoyens révélera, à ce sujet : « Personne n’ose s’aventurer seul à l’extérieur de l’immeuble que nous habitons, au-delà de 20 h, sous peine d’être assailli par les meutes de chiens qui peuvent facilement atteindre la trentaine ». Et un autre d’ajouter : « Pour les cas d’urgence vous devez prendre un gourdin ou alerter tous les voisins pour pouvoir accéder à l’autre côté de la rue ». Autour des immeubles LSP, un citoyen n’a pas trouvé mieux pour « compléter » ce décor que de cultiver des haricots et des pommes de terre sur la partie réservée au trottoir et à un semblant d’espace vert, le tout clôturé par ses soins et déclaré, au grand dam de ses voisins, « propriété privée ». L’état poussiéreux de la chaussée, le passage fréquent de quelques marginaux, notamment la nuit, et l’aménagement approximatif des lieux, figurent sur la longue liste des griefs répertoriés par les habitants de cette cité. Les maintes doléances adressées aux instances compétentes sont restées lettre morte et rien n’augure d’une quelconque prise en charge.

A. Djafri

La cité Laghirou, qui compte plusieurs dizaines de familles, demeure empêtrée dans de sérieux problèmes qui n’ont toujours pas trouvé une oreille attentive du côté des responsables locaux.

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Une famille entière jetée dans la rue

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SOUK AHRAS

Une famille  entière jetée dans la rue

 

Une famille entière femmes et enfants ont été expulsés hier par les forces de l’ordre de leur domicile et cela dans l’indifférence totale des autorités locales.

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Le traitement profondément inhumain réservé à cette famille qui a le seul tort d’être pauvre n’a ému apparemment aucun élu local . Comment peut-on dans un pays de 150 milliards de Dollar  de réserve, mettre toute une famille dehors sans aucune alternative de relogement? Comment nos pseudos responsables locaux ont pu brutalement jeter dehors des enfants innocents sans même se demander comment vont vivre dans la rue? Une fois de plus, nous constatons que l’Etat algérien protège exclusivement les intérêts des propriétaires et des voleurs, y compris institutionnels et marchands de biens, au mépris des droits  les plus élémentaires des personnes les plus fragiles. Pauvre Algérie  . Honte à vous responsables. Dieu se vengera de vous et de vos enfants.  Souheila G

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 28/05/2008 par Souheila G.

SOUK AHRAS : Une ville sale

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SOUK AHRAS

UNE VILLE SALE

 

L’absence des conditions élémentaires d’hygiène et de salubrité, l’éclatement des canalisations d’évacuation des eaux usées, le cumul des ordures ménagères dans les espaces publics sont autant de points noirs qui détériorent le cadre de vie dans plusieurs agglomérations du chef-lieu de la wilaya de Souk-Ahras.

 

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L’exemple de la cité 72/560 logements CNEP est plus que révélateur où depuis plus d’un mois, les habitants se plaignent de la stagnation des eaux usées qui dégagent d’insoutenables odeurs et constituent un terrain de prédilection pour la prolifération des moustiques et la propagation des maladies à transmission hydrique. Ces habitants, décidés à mettre fin à cette situation, ont fait appel aux services de l’Office national d’assainissement (ONA) qui sont intervenus à plusieurs reprises afin de déboucher ces fosses suite à la défection d’une conduite des eaux usées. Malheureusement, ils ont été surpris de constater que même les buses d’évacuation sont inexistantes. Les appartements du bâtiment 48 C, vendus à des prix élevés, ont été livrés avec de tels manquements. Quoiqu’il en soit, même en faisant contre mauvaise fortune bon cœur, les bénéficiaires de ces logements découvrent que le cahier des charges n’a pas été respecté, cette situation pénalise les résidants de cette cité. Ces derniers en appellent aux autorités locales et tirent la sonnette d’alarme.

Barour Yacine Le Soir d'Algérie

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SOUK AHRAS : Ouvriers non déclarés et exploités

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SOUK AHRAS

 Ouvriers non déclarés et exploités

 

Dans le cadre de la protection des droits des travailleurs et la prévention des accidents professionnels, une commission mixte, regroupant un médecin du travail, des contrôleurs de la Cnas et ceux de l’inspection du travail, a effectué, durant la première quinzaine du mois de mai, des visites inopinées à travers 19 exploitations de carrière employant 124 travailleurs. Des infractions ayant trait au non-respect des mesures d’hygiène et de sécurité ont fait l’objet de 55 mises en demeure adressées aux employeurs.

« La majorité des employeurs continuent à recourir à des moyens et outils usés et refusent d’investir dans l’équipement prévu pour la protection des employés de ces carrières, où même les casques et les chaussures de sécurité font défaut », a révélé un membre de la commission. S’agissant des travailleurs non déclarés, 10 procès-verbaux ont été établis par ladite commission et une affiliation d’office à la sécurité sociale a été appliquée, conformément à la législation en vigueur. Zones de non-droit, par définition, les carrières où l’on fait peu cas du SNMG et de quelques autres droits, sont aussi à l’origine de la dégradation de l’environnement. L’extraction effrénée et anarchique des matériaux de construction n’obéit que rarement aux normes universelles.

A. Djafri  El Watan

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Des entrepreneurs arnaqués crient scandale

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SOUK AHRAS

 

Des entrepreneurs arnaqués crient scandale

 

Neuf entrepreneurs ayant effectué il y a quatre ans des travaux de ravalement de façades des logements sociaux participatifs (LSP) du POO1, sur demande de l’OPGI de Souk- Ahras en prévision de la visite du chef de l’Etat intervenue en juillet 2003, n’ont pas été payés jusqu’à ce jour, ce qui n’a pas été démenti par l’OPGI. Leur problème traîne en longueur, pourtant ils ont frappé à toutes les portes réclamant leur dû.

 

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Malgré toutes les missives adressées au directeur de l’Office de promotion et de gestion immobilières, au chef de daïra et au P/APC, toutes leurs démarches se sont avérées vaines. Ce qui a soulevé leur courroux, ces derniers ont décidé d’adresser une lettre au président de la République demandant son intervention dont une copie nous a été transmise. Les rédacteurs de la correspondance, dont la patience est à bout estiment «avoir été floués purement et simplement». Ils dénoncent les tergiversations des pouvoirs publics qui continuent de cafouiller et ne savent plus comment démêler cet imbroglio. Les informations fournies par l’OPGI de Souk- Ahras indiquent : «Le badigeonnage des façades n’a pas été réalisé sur le patrimoine de l’OPGI, ce qui rend la perspective de régler cette situation impossible.»
                                                                    Barour Yacine  Le Soir d'Algérie

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SOUK AHRAS : Examens de fin d’année

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SOUK AHRAS

Examens de fin d’année

27 754 candidats attendus

 

Des moyens humains et matériels importants ont été déployés pour assurer le bon déroulement de ces épreuves, a-t-il indiqué, avant d’annoncer son optimisme quant aux résultats attendus cette année. Les programmes, étant officiellement achevés à 92%, sinon à 100% pour la majorité des établissements, le même responsable a tenu à rassurer que « le seuil requis pour les chapitres prévus pour les examens, notamment les épreuves du baccalauréat, ont été achevés par la quasi-totalité des établissements, parfois avant les délais impartis ». Il a salué, par la même occasion, les enseignants des différents paliers qui ont réussi à faire preuve d’engagement et à atteindre les objectifs fixés par la tutelle. Pour l’examen de 6e, dont la date est fixée au 27 mai 2008, le nombre des candidats a été arrêté à 8 387 élèves, qui seront répartis à travers 48 centres. La surveillance des épreuves sera assurée par 1 326 enseignants. Les 6 553 candidats au BEM se dirigeront, quant à eux, le 2 juin, vers les 28 centres d’examen, prévus pour la circonstance par la direction de l’éducation. S’agissant du baccalauréat, ancien et nouveau systèmes inclus, un nombre de 6 428 candidats, dont 4 093 scolarisés et 2 335 candidats libres, subiront les épreuves à compter du 7 juin. L’installation de la cellule de wilaya, chargée du suivi des examens, assure, d’ores et déjà, son rôle d’instance de contrôle et de préparation des examens, d’après le conférencier. Ce dernier ajoutera, par ailleurs, que des consultants d’orientation pédagogique seront mobilisés, pour la première fois, pour apporter une assistance psychologique aux candidats le jour de l’examen. Pour ce qui est des enseignants convoqués pour la surveillance et la correction des copies des examens, leurs rémunérations ont été revues à la hausse par le ministère, a-t-il rappelé pour clore ensuite ce volet de la conférence, en disant : « Toutes les conditions sont réunies pour que les candidats aux examens de fin d’année aillent subir les preuves dans la sérénité absolue ». Classée, l’année dernière, 9e à l’échelle nationale à l’examen du bac, la direction de l’éducation wilaya de Souk Ahras, qui compte déjà une première position nationale au BEM (session de juin 2006), se dit, par le biais de son premier responsable, capable cette année de résultats meilleurs et d’amélioration, dans le sillage des nouvelles réformes, du niveau de nos futurs universitaires.

A. Djafri El Watan

Salim Benader, directeur de l’éducation, a animé, jeudi dernier, une conférence de presse, pendant laquelle il a déclaré que tout est fin prêt pour recevoir les 27 754 candidats aux différents examens de fin d’année de la session de juin 2008.

 

 

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 23/05/2008 par Webmaster.

L’Entente de Souk Ahras reléguée

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L’Entente de Souk Ahras reléguée

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L’Entente sportive de Souk Ahras est assurée de descendre en division inférieur après la défaite concédée contre  l'équipe de Chelghoum Aid,  jeudi lors de la 28e et dernière journée de la division inter-régions. Les rouges et noirs ne méritent pas cette descente devenue prévisible depuis quelques semaines. En effet notre équipe locale affaiblie financièrement paie l’incompétence de ses dirigeants et surtout l’incurie sportive et l'insouciance des autorités locales qui nous ont habitué  d'ailleurs à leur mauvaise gestion et cela dans tous les domaines.

commentaires 1 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 17/05/2008 par Webmaster.

Souk-Ahras : Corruption et détournements

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SOUK AHRAS

 Corruption et détournements

 

Les secteurs de la jeunesse et des sports, la culture, les institutions financières et les APC ont été ébranlés en 2007 par des enquêtes judiciaires, charriant avec elles l’espoir de mettre fin à l’impunité, mais sans venir à bout d’un mal qui est déjà au stade de la métastase. Neuf employés de la DJS, dont l’ex-premier responsable, ont été placés sous contrôle judiciaire pour différents chefs d’accusation, dont ceux cités plus haut. Un cadre du Trésor public, interpellé dans la même affaire, a subi la même mesure préventive. Quelques semaines après, le dossier de la culture, dont le préjudice financier est estimé à plusieurs milliards de centimes et qui continue d’ailleurs à donner matière à jaser sur l’attribution de marchés douteux, défraye la chronique locale et met fin à des mois, sinon des années de spéculations quant aux mesures devant sanctionner l’enquête diligentée par les services compétents. L’ex-secrétaire général de la wilaya, acquitté quelques mois auparavant dans une affaire du foncier et l’ex-directeur par intérim de la culture sont, à leur tour, interpellés et placés sous contrôle judicaire. L’enquête la plus longue a également trouvé épilogue en ce début d’année 2008. Il s’agit de celle concernant les ex-gestionnaires administratifs et financiers de l’Opow. En plus du rapport de l’IGF, l’enquête sera basée sur la création d’entreprises fictives sous la houlette d’un élu de l’actuelle APC, des documents faisait état de la création d’associations fantoches bénéficiaires de plusieurs dons et subventions, le détournement d’un matériel et équipement sportifs, ainsi que l’octroi de marchés au profit d’une entreprise d’électricité pendant la période s’étalant entre 2001 et 2003. La mise en détention préventive de l’ex-directeur de la BDL (banque de développement local) et d’un chef de service de la même antenne, et ce suite à une plainte déposée par la direction régionale de la BDL pour attribution illégale de prêts d’investissement, est l’autre affaire venue confirmer l’ampleur du phénomène dans cette wilaya. L’éradiquer, vu ses ramifications, ses préalables, les tenants d’un pessimisme outrageant et complice, n’est pas pour bientôt. Les employés de l’ADE, ceux de l’éducation avec leur volumineux dossier des œuvres sociales, le personnel de l’OPGI et celui d’une entreprise publique dépendant du secteur industriel et sur laquelle pèse un grave dossier lié à l’environnement, ainsi que plusieurs autres directions et organismes publics préfèrent le printemps au lieu de l’hirondelle.

A. Djafri

Les détournement et dilapidations de deniers publics ont atteint la côte d’alerte à Souk Ahras, wilaya devenue, depuis bientôt deux décennies, réputée pour ses scandales à répétition.

 

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Complexe lainier de Souk Ahras 324 salarié sans salaire depuis 6 mois

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Complexe lainier de Souk Ahras

 

324 salarié sans salaire depuis 6 mois

 

par Kamel MELLOUK

 

Les  324 salariés de l’ex ELATEX sont dans une situation intenable, au point de manifester une grande colère. Et pour cause ! Ils n’ont pas perçu de salaires depuis plus de six mois. Des dizaines d’entre eux de divers paliers n’ont cessé d’interpeller leur direction afin qu’elle procède à l’assainissement de leurs arriérés de salaires, d’autant qu’ils subissent de plein fouet les effets de la cherté de la vie et des produits de large consommation, à l’ombre d’une érosion du pouvoir d’achat sans précédent.

 

 

 

 

Devenue insolvable et sans  le sou, la LASA ce fleuron de l’industrie locale est dans l’impossibilité financière d’honorer ses dettes envers ses ouvriers  qu’elle préfère malgré elle  les laisser à leurs sorts.

Comme  il ne faut jamais compter sur l’UGTA ce syndicat fantoche qui ne soucie guerre du droit des salariés , ces  laissés-pour-compte n’on plus espoir de voir un jour  leur problème résolu.

Beaucoup d’entre eux  voient  dans  cette situation  la main de la mafia financière  algérienne , qui veut  s’accaparer de ce  bijou  et cela   en moindre coût  et surtout  sans  ses salariés.

 

Pour rappel la LASA  a été depuis sa création victime de ses dirigeants et de leur mauvaises gestion pour ne pas dire leur malhonnêteté. Certains d’entre eux qui ont bien profité de cette société sont  sans aucun doute  les premiers  responsables de cette situation catastrophique. L’un d’entre eux connu de tout le monde,  s’est fait même construire   une villa sur le dos de l’entreprise pour la détourner ensuite en toute impunité. Il n’a jamais rendu compte à la justice malgré les plaintes déposées contre lui.  En effet en Algérie  et devant  notre « Justice » il faut mieux être riche, malhonnête et voleur qu’un pauvre salarié qui ne demande seulement à être  payer.

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 14/05/2008 par Kamel MELLOUK.

Souk Ahras : Les bidonvilles ceinturent la ville

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SOUK AHRAS

Les bidonvilles ceinturent la ville

 

Au chef-lieu de la wilaya, elles sont 16 poches de bidonvilles qui ceinturent la ville et qui offrent, de loin, un conglomérat de ferraille et de bois comme décor. Plus de 4 622 habitations précaires sont officiellement recensées à travers le territoire de la wilaya de Souk Ahras, où le phénomène est encore difficile à endiguer à cause de facteurs.

     

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Les opérations multiples, engagées par les responsables pour éradiquer ce fléau, n’ont pas donné les résultats escomptés et les campagnes de relogement ont encouragé d’autres gens à venir s’agglutiner aux pans de l’armature urbaine. Des poches, qui ont échappé à l’urbanisation effrénée qu’ont connues les daïras importantes de la wilaya, subissent encore l’arrivée en masse des familles rurales et celles des quartiers de la périphérie, donnant ainsi naissance à des quartiers bidonvilles et perpétuant le phénomène. A la cité Bendada, à celle de Diar Ezzerga ou encore Rebbahi, le décor est presque le même : des baraques en bois et en tôle ondulée qui s’entassent et s’entremêlent dans l’anarchie, des enfants qui courent dans la boue séchée parmi les détritus et des objets hétéroclites qui jonchent le sol, des jerricans même trop de jerricans et un nombre impressionnant de fils électriques raccordés à des câbles piratés au vu et au su de tout le monde. Les familles qui y habitent sont loin de se complaire dans ces lieux de misère et de dénuement, mais les arguments, on en vous donne à satiété. « C’est le seul moyen pour pouvoir bénéficier d’un gîte par ces temps de népotisme et de hogra », nous confie un enseignant installé dans un bidonville depuis quatre ans. Un sexagénaire confirmera : « J’ai vécu plus de quarante ans comme locataire chez un particulier dans une cave exiguë, sans eau, sans électricité et sans lumière. Le nombre des rats dépassait de loin celui des voisins. Pensez-vous que j’aurais trouvé mieux ? ». Ces « désavantagés » de la politique du logement reconnaissent, pourtant, l’existence parmi le groupe de personnes opulentes et bien introduites qui choisissent momentanément cette situation pour bénéficier d’un logement. D’autres, ayant appris par cœur la procédure et les étapes par lesquelles doit passer un postulant au logement, réussissent, dans un élan de cupidité, à reloger tous les membres de la famille. Au chef-lieu de la wilaya, elles sont 16 poches de bidonvilles qui ceinturent la ville et qui offrent de loin un conglomérat de ferraille et de bois comme décor. Mêmes scènes à la cité communale de Sédrata ou à Aïn Tolba, agglomérations de la deuxième ville de Souk Ahras, où des citoyens cohabitent avec les mouches, les moustiques et les rongeurs dans une précarité affligeante. Lors de la dernière rencontre avec les comités de quartier, le P/APC de Souk Ahras a annoncé que des mesures dissuasives seront mises en application par les services communaux pour lutter contre le phénomène. La démolition des baraques et la récupération des terrains, après relogement des familles qui y habitent, ont été préconisées comme solutions. Difficile sera le pari quand d’autres élus communaux et les représentants de quelques associations fantoches font dans le tribalisme, la déstabilisation et les promesses propagandistes. La politique locale du logement se trouve également confrontée à un autre problème aussi épineux. Il s’agit de la vétusté des constructions qui remontent à la période coloniale, et dont une bonne partie menace ruine depuis déjà des décennies. Des immeubles des rues Frantz Fanon, Victor Hugo, Abdelaziz Kader, l’ALN, Amirouche et autres accusent un état de décrépitude avancé et représentent, de ce fait, un danger réel, surtout pour la ville de Souk Ahras où l’on compte 80% des 2 908 constructions vétustes recensées à travers les différentes communes de la wilaya. Des centaines de familles qui y habitent attendent les prochaines attributions.

A. Djafri  El Watan

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L’envolée du ciment stoppe les chantiers

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SOUK AHRAS

L’envolée du ciment  stoppe les chantiers

par Yacine BAROUR Le Soir d'Algérie

La tension sur les matériaux de construction bat son plein dans une wilaya où un grand nombre de chantiers sont en cours de finalisation. Depuis quelques mois déjà, les promoteurs immobiliers ne cessent de demander la révision du prix du mètre carré habitable en fonction de l’envol vertigineux des prix des matériaux de construction.

 


Ainsi, en moins d’un semestre, le prix du détail du sac de ciment de 50 kg est passé de 350 à 450 DA, voire 470 DA. «Il y a 5 mois, le sac de ciment de 50 kg coûtait 340 DA, aujourd’hui, son prix a subitement augmenté de 50%», martèle un promoteur. Même le rond à béton connaît ces jours-ci une hausse significative. Selon les revendeurs de matériaux de construction, particulièrement ceux ayant pignon sur rue, la tendance actuelle du rond à béton dans toutes ses dimensions (8, 12, 14) a grimpé au marché parallèle. En effet, le prix du quintal de divers ronds à béton qui se négociait à raison de 7 500 DA, il y a un mois, a vite pris au moins 1 000 DA de plus, puisqu’il est vendu actuellement à 8 500 DA à Souk Ahras. La tension touche également le bois qui connaît une augmentation de 50%. Cette hausse est devenue un sérieux obstacle pour la réalisation, dans les délais, des différents programmes des promoteurs immobiliers lancés à Souk Ahras. A priori devant cet imbroglio dans la spéculation, chercher d’où vient la faille équivaut à chercher une aiguille dans une botte de foin. Louvoiements, réponses dilatoires sont devenus monnaie courante chez les acteurs impliqués dans la vente des matériaux de construction qui se renvoient la balle, les détaillants accusent les grossistes et les fournisseurs. Un filet où les maillons sont enchevêtrés sans que l’on puisse les démêler et identifier ceux qui tirent réellement les ficelles. Pour justifier ces pratiques, on parle de spéculateurs qui engrangent des profits au détriment du petit citoyen qui, faut-il le rappeler, n’a pas les moyens de mettre un terme à l’incurie

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L'Entente en danger de relégation

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SOUK AHRAS

L’Entente en danger de relégation

Réaction

Les résultats de la 28e journée de l’inter régions Est ont permis une certaine décantation dans le bas du tableau, même si le groupe des « candidats » à la relégation reste assez important, car constitué de pas moins de cinq équipes non encore fixées sur leur sort.

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L’équipe de Souk Ahras est dans une situation critique et l’espoir de se maintenir dans la division Inter régions est minime et tout cela dans l’indifférence totale des autorités locales et des élus. En effet faute de budget l’entente de Souk Ahras était dans l’obligation de vendre ces meilleurs joueurs. L’APW de Souk Ahras qui leur a refusé une rallonge budgétaire ne s'est  pas  géné de voter le budget restauration de ses élus qui va coûté au contribuable souk-ahrassien des centaines de millions. Pour l’élu Souk-Ahrassien et faute de cerveau ,le ventre passe avant les pieds.

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Souk Ahras malade de ses élus

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SOUK AHRAS

Une ville malade de ses élus 

Souk Ahras n’a pas su tirer profit de sa nouvelle position de chef-lieu de wilaya pour sortir d’une léthargie qui obère son développement.

 

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Cette wilaya, située à l’Est du pays, renferme d’importantes potentialités non négligeables, notamment dans le domaine de l’agriculture, du tourisme et forestier.
En effet, elle recèle une richesse exceptionnelle de par la diversité de sa couverture forestière. Les régions de Mechrouha, Ouled Driss, Taoura et Sedrata pour ne citer que celles-ci, sont pourvues de différentes variétés de bois.
Le patrimoine forestier peut être un facteur de relance économique très important pour cette wilaya. La Conservation des forêts de la wilaya de Souk Ahras a, depuis quelques années déjà, tracé un large programme qui vise la protection des bassins versants des oueds de Medjerda et Charef. Le premier se situe dans la commune de Hnancha, le deuxième à Sédrata. Ces actions ciblent l’amélioration pastorale, la correction torrentielle, l’assainissement, l’entretien des forêts, le reboisement et la plantation fruitière.
Le patrimoine forestier est estimé à plus de 81.000 ha, soit les 21% de la surface totale de la wilaya. Sur le volet de la réalisation, quelque 1890 ha ont été reboisés à ce jour. La correction torrentielle, quant à elle, est de l’ordre de 23.000m3. Près de 1270 ha ont été réservés à la plantation fruitière. La fixation des berges, porte sur 55ha.
Ce programme fort louable est aussi à l’origine de la création de plus de 440 postes d’emploi, notamment dans le domaine du reboisement qui concerne près de 3284ha.


                           Le patrimoine forestier, source d’emploi


Ce qui a été à l’origine de la création d’un nombre non négligeable de postes d’emploi.
Le programme de développement lancé vise l’amélioration de la sécurité alimentaire dans les zones rurales. La mise à niveau des exploitations agricoles et la consolidation de leurs activités productives, la promotion et la valorisation des métiers ruraux et des activités agricoles. En somme, il s’agit de la création des conditions favorables au retour dans leur région d’origine, en un mot, freiner l’exode rural des populations caractérisé par le fameux départ massif vers les grandes villes industrialisées pour des raisons sécuritaires ou économiques.
La couverture forestière de la wilaya de Souk Ahras produit chaque année 116.000m3 de bois d’oeuvre, 14.000m3 de bois de chauffe et 10.000 quintaux de charbon de liège. Il convient de noter que les difficultés touchent environ 960 ménages à travers les 173 localités de la wilaya. D’où le taux de chômage estimé à 55%. Tagaste, n’est pas seulement une région agricole, elle est aussi une wilaya touristique.
La wilaya de Souk Ahras a été dotée par Dame nature de nombreux atouts et potentialités pouvant faire du tourisme son fer de lance. Les vestiges de Madaure (M’daourouch), lieu de naissance de saint Augustin, les ruines romaines de Khemmissi qui sont d’une beauté unique au monde sans pour autant oublier les stations thermales à l’image de hammam Ouled Zaïd et hammam Tassa aux vertus curatives.
En dépit de ces acquis, le secteur du tourisme dans la ville natale de saint Augustin, n’a pas enregistré de signe qui pourrait faire sortir la région de sa léthargie.
Aussi, l’année 2006/2007 a été riche en visites de touristes, notamment les groupes de visiteurs français (pieds-noirs) qui ont fait de la ville de Souk Ahras leur lieu de pèlerinage. Il est vrai aussi que la wilaya et son chef-lieu ne comptent pas des hôtels classés qui encourageraient les visiteurs à passer deux ou trois jours dans la région.



Retard dans le développement touristique


Le besoin de nouvelles structures d’accueil en vue d’améliorer les prestations de service se fait grandement sentir. Quant aux stations thermales, elles méritent plus d’attention au vu de leur importance. Sur l’ensemble de la wilaya, Souk Ahras et Sedrata, comptent la plus grande densité en population. Malgré ses 130.000 habitants, Souk Ahras connaît un manque criant en matière de structures récréatives et interactives. Ce déficit se fait cruellement sentir dans une ville antique comme Tagaste. Aujourd’hui, en dépit de quelques terrains de proximité qui permettent aux jeunes de donner libre cours à un trop-plein d’énergie, les espaces verts dotés d’aires de jeu, de détente ou de relaxation font défaut dans une ville empreinte d’un passé glorieux.
La wilaya de Souk Ahras détient la palme de l’activité agropastorale de la région, outre les productions céréalières qui occupent une place prépondérante dans l’activité agricole et qui est de loin sa principale richesse. Il y a aussi l’élevage d’ovins et de bovins. Actuellement, le cheptel est constitué de plus de 78.000 têtes dont plus de 39.000 vaches laitières. En dépit de ce nombre, relativement important, la production de lait demeure en deçà des capacités réelles de la région, avec une production annuelle qui dépasse les 1.000.000 de litres de lait. Souk Ahras est donc en tête des wilayas productrices de cette matière de large consommation.
La wilaya qui, dans le passé, approvisionnait le complexe laitier de l’Edough à Annaba, est devenue le premier fournisseur du complexe de Tagaste à Souk Ahras ainsi que de deux autres laiteries. Ces trois entreprises constituent une véritable aubaine pour les jeunes chômeurs de cette région. L’hydraulique dans la wilaya de Souk Ahras, est au beau fixe, et ce grâce au barrage de Aïn Dalia, situé dans la commune de Hnancha, qui répond aux besoins en eau de la wilaya. S’ajoute à cela, l’irrigation des terres agricoles de la wilaya et l’approvisionnement en eau potable des populations. Une opération réussie puisqu’elle satisfait également les besoins des wilayas limitrophes à l’image de Tébessa et Oum El Bouaghi.
Notons cependant, qu’en dépit de tous leurs efforts, les autorités de la wilaya de Khenchela ne sont pas parvenues à lui faire atteindre un développement à la mesure de ses potentialités.

Wahida BAHRI  L'Expression

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 10/05/2008 par Webmaster.

Un nouveau Wali pour Souk Ahras

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FATMI RACHID

Le nouveau Wali de Souk Ahras

 

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Le Président de la République, Abdelaziz Bouteflika, a procédé hier, à un mouvement dans le corps des walis, conformément aux prérogatives qui lui sont conférées par l’article 78-9 de la Constitution, indique un communiqué de la Présidence de la République. Ce mouvement comporte la nomination de Monsieur FATMI Rachid en qualité de Wali de Souk Ahras en remplacement de Monsieur TAHRI Miloud appelé à d’autres fonctions. Pour rappel le nouveau Wali de Souk Ahras a occupé précédemment le poste de Wali de Batna et  de Béjaia. 

commentaires 1 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 08/05/2008 par Kamel MELLOUK.

Goulven MADEC : Un grand ami de Souk Ahras s'en va

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Goulven MADEC

 

  Un grand un ami

   de Souk Ahras

   s'en va

 

par Kamel MELLOUK

 

 

Après Mandouze et Serge LANCEL,  Goulven MADEC le plus grand spécialiste de l’augustinisme  nous quitte  à son tour. Il est parti  dans un silence digne des grands personnages qui ont marqué  de leur empreintes toute une génération de penseurs. Il avait consacré toute sa vie à découvrir et à faire aimer saint Augustin l’Africain l’ enfant prodige de Souk Ahras que tout l’Occident nous jalouse.

 

 

                                  Goulven Madec

 

Né à Brélès, le 31 octobre 1930, religieux assomptionniste, Goulven Madec auteur de plusieurs dizaines de livre sur Saint Augustin est issu d’une famille modeste du Finistère. Devenu religieux assomptionniste, il étudia les lettres classiques et se passionna pour l’Antiquité tardive et saint Augustin, au point de s’identifier à l’époque, "son époque" et à l’homme Augustin, qu’il lisait et relisait continuellement, pour en pénétrer l’âme et dégager le fils de Thagaste de la gangue dont l’avait recouvert l’histoire du dogme. Sans doute ferait-il siennes, mutatis mutandis, ces quelques lignes que rédigea le Docteur de l’Église, au moment du décès de sainte Monique, sa maman :

Dans une de mes multiples rencontres parisiennes avec lui Goulven me confia un jour  avec son humilité légendaire  que le plus beau cadeau qu'il a reçu était le jour  où notre Club des Amis de Saint Augustin de Souk Ahras l’avait invité à visiter la ville natale  de son Maître de toujours Saint Augustin:

Je me souviens de ce jour de printemps 2001 où et pour la première fois de sa vie, a mis les pieds en terre augustinienne.  Très ému ,les larmes aux yeux et le sourire sur lèvres , il scrutait  avec  philosophie et  amour tous les coins et recoins de l’antique Thagaste . Il était content comme un enfant dans un manége.  Le jour même au Théâtre KATEB Yacine,  il a donné une conférence publique à tous les passionnés de l’enfant de Monique sous le thème  « Saint Augustin en famille ».

Goulven Madec était  sans aucun doute le plus grand théologien augustinien de tous les temps. Calvin, Luther et même l’Italien Saint Thomas d’Aquin étaient des écoliers par rapport à lui. C’est lui qui a toujours défendu saint Augustin  de ceux qui le  soupçonnent à tort  d'avoir assombri la civilisation occidentale. Saint Augustin nous a au contraire affranchis de l'Antiquité, en affirmant la valeur de l'expérience et du temps. Il est le fondateur de l'homme occidental   rétorquait Madec.

A une de mes questions « Saint Augustin croyait-il vraiment à la Trinité »  Goulven Madec souriant m’avait répondu « Vous aussi les musulmans vous voulez s'emparer d' Augustin, tu sais cher ami que saint Augustin était un bon chrétien, mais personnellement  des fois  je doute  qu’il fût un bon théologien de la sainte Trinité. » Repose en paix cher ami. Saint Augustin  sans toi est maintenant orphelin , nous allons s'occuper de lui à ta place mais la tâche s'annonce difficile car toi,  tu as été pour lui comme une mère et personne ne peut remplacer une mère. Adieu

 
commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 08/05/2008 par Kamel MELLOUK.

Souk Ahras: Critique littéraire

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SOUK AHRAS

Critique littéraire

par A. Djafri  El Watan

Un séminaire national intitulé « Les méthodes de critique et les défis de l’application pratique » a été organisé, par l’institut des lettres et langues du centre universitaire de Souk Ahras.

Une pléthore d’enseignants de rang magistral et de chercheurs émérites dans le domaine de la critique littéraire y ont pris part, avec l’esprit d’insuffler un sang nouveau chez les étudiants de l’institut et vulgariser, un tant soit peu, des concepts usuels chez les gens de spécialité, mais souvent inaccessibles pour les profanes ou les étudiants. Ahmed Meddes de l’université de Biskra a eu le mérite d’entamer le séminaire par l’analyse du discours poétique du point de vue structurel chez Elya Abou Madhi dans son poème El Massaâ . Walid Bouadila, de Skikda, expliquera, avec illustration, le rapport du poète avec le lieu où il évolue, sa relation symbolique avec la ville comme espace d’inspiration. Considérant le texte comme une entité autonome, une combinaison de structures entretenant des relations d’ordre sémantique, Nabil Benyahia, du centre universitaire de Souk Ahras, considère que l’étude approfondie de ces structures peut éclairer le ou les sens d’un texte choisi, en puisant les arguments nécessaires pour un meilleur accès au monde de la signification. Les docteurs Liamine Bentoumi de l’université Ferhat Abbas de Sétif, Ali Khefif de l’université de Badji Mokhtar de Annaba et le professeur Riad Messis, développeront, respectivement, dans leurs communications la sémiologie narrative, le discours politique et son impact sur les groupes sociaux et l’analyse fragmentée des textes littéraires. De son côté, le docteur Abdelwahab Boucheliha a traité, à sa manière, le concept de l’anti-héro chez l’écrivain Abdelhafid Boualtine. L’option « réactionnaire », en vogue pendant la période postcoloniale, dénuée de sa portée politique, a présenté ce dernier sous son aspect humain, plutôt dramatique oscillant entre rêve de la révolution et révolution des rêves, suggérant ainsi au lecteur de juger lui-même les positions des uns et des autres. D’autres conférenciers, à l’instar de Chérif Habila, Salima Loukam et Mouldi Bechainia ont fait de cette rencontre académique un franc succès, et ce de l’avis des étudiants présents en grand nombre et de plusieurs invités, notamment le président du conseil communal de la culture, Larbi Kadi. Pour l’organisation, le staff de l’institut des lettres et les responsables des deux départements qui le composent n’ont pas démérité les signes de reconnaissance émanant des hôtes de la ville de Saint-Augustin. Faut-il perpétuer de telles rencontres pour que l’université algérienne retrouve sa vocation originelle et se réconcilie avec elle-même ?

A. Djafri

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 06/05/2008 par Webmaster.

Souk Ahras : Marasme socioculturel et nuisances sonores
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SOUK  AHRAS

 Marasme socioculturel et nuisances sonores

                                                                                                  par A. Djafri  El Watan

 

L'été s'approche et à chaque été, Souk Ahras a son lot de misères, et l’on est loin de l’époque où il y faisait bon vivre pendant cette période de l’année. Augmentation du chômage et boom démographique aidant, l’antique Thagaste perd ses repères, et ses artères principales croulent sous le poids de ces foultitudes de jeunes qui arpentent, désœuvrés et sans objectif précis, les rues commerçantes de l’ancienne ville, ou s’installent tout simplement à proximité des magasins les mieux achalandés.

 

  

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Les cafés bondés deviennent insupportables par ces temps de canicule, alors que les terrasses sont pratiquement squattées par les malades mentaux et les mendiants. Idem pour les trottoirs, transformés depuis belle lurette en espaces commerciaux où l’on étale pain, produits laitiers, jouets, effets vestimentaires et autres objets hétéroclites, parfois difficiles à identifier. Des axes, aussi importants que la rue Benbadis et celle de L’ALN, sont évités pendant les heures de pointe par les automobilistes à cause de la densité de la population et l’anarchie qui y règne. Même les piétons trouvent du mal à s’y frayer un chemin pour passer d’un bout de la rue à un autre. Hormis les fêtes familiales, aucune manifestation culturelle ou touristique n’est venue égayer les habitants de Souk Ahras, et les espaces réservés pour les familles ne se comptent même pas sur les doigts d’une seule main. La déliquescence du pouvoir d’achat et les multiples compressions des effectifs, conjugués aux factures salées de Sonelgaz et autres, ont privé une bonne partie des citoyens du semblant de vacances qu’ils pouvaient se permettre, il y a seulement quelques années. Casaniers, cette fois-ci malgré eux, ces derniers se rabattent sur la télévision, leur unique moyen d’évasion. L’on parle pourtant de Singapour, de Hong Kong, de Boston, comme certains parleraient de M’daourouch et Sedrata. Les nuisances sonores commencent à partir de 20 heures. Des salles des fêtes sont improvisées dans la majorité des quartiers résidentiels, et l’usage démesuré des haut-parleurs oblige les citoyens à rester éveillés jusqu’au petit matin. Aucune salle n’obéit aux normes à Souk Ahras, et l’insonorisation du lieu, telle qu’exigée par les textes désuets certes mais toujours en vigueur, n’est jamais respectée par les propriétaires. Les habitants de Souk Ahras, épris naguère d’animation et de voyages, semblent définitivement résignés à subir les effets de la paupérisation, du marasme culturel devenu chronique et d’une ville dortoir qui suffoque.

A. Djafri

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 02/04/2008 par Samssoum.

Affaire du bloc opératoire de Souk Ahras

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Affaire du bloc opératoire de Souk Ahras

Plus de 20 personnes convoquées par la justice

 

                             par Djafri  El Watan

Plus de 20 personnes, dont des témoins et des membres du personnel liés à la gestion du bloc opératoire, ont été convoquées, mardi dernier, par le magistrat instructeur près le tribunal de Souk Ahras dans l’affaire du décès du jeune D. Zinedine (9 ans), survenu le mois de janvier dernier à l’hôpital régional de la wilaya dans des conditions contestées par ses parents.

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Ces derniers, qui continuent de reprocher au staff médical et paramédical « une négligence fatale », avaient exigé, dans une doléance rendue publique par voie de presse, un rapport d’autopsie. Ce dernier confirmera le fondement de leurs accusations et écartera la thèse de la « mort naturelle et inexpliquée », telle que brandie, en guise de parade, par certains milieux proches de l’équipe médicale mise en cause. Le responsable du bloc opératoire, le chirurgien, l’anesthésiste et trois autres personnes, au moins, seraient impliquées, d’après notre source, de manière directe dans cette affaire qui n’a toujours pas révélé tous ses secrets. Pour l’heure, les investigations tournent autour de l’utilisation lors de l’opération d’une bouteille de CO2 au lieu de celle contenant de l’oxyde d’azote. Nos tentatives de prendre attache avec le directeur de l’hôpital régional de Souk Ahras, convoqué au même titre hier par le juge d’instruction, sont restées vaines malgré notre insistance. Un autre responsable que nous avons réussi à joindre par téléphone a refusé toute déclaration à ce sujet. A rappeler que les décès dans les mêmes conditions d’un homme de 65 ans et d’une jeune fille de 25 ans avaient fait l’objet, quelques mois auparavant, d’une instruction judiciaire couronnée par la condamnation de l’ex-directeur de l’hôpital à une année de prison avec sursis.

A. Djafri

commentaires 0 Commentaire - Imprimer cette new Imprimer cette new - Syndication RSS rssPosté le 02/04/2008 par Webmaster.

 


الدرك يحقق في تسيير الوكالات العقارية بسوق اهراس



علمت ''الخبر'' من مصادر متطابقة أن مصالح الدرك لولاية سوق اهراس قد شرعت في التحقيق مع خمس وكالات عقارية بلدية، ويتعلق الأمر بوكالات تاورة، المشروحة، مداوروش، بئر بوحوش وسوق اهراس. وارتكز التحقيق على السنوات الماضية من التسيير بناء على تقرير محافظ الحسابات في قضايا التسيير لعملية نقل الخصوم والأصول إلى الوكالة العقارية الولائية. وكانت فرق الدرك قد باشرت التحقيق مع مدير وكالة تاورة ثم مع مدير الوكالة الولائية، بحكم أن تسيير الوكالات عاد إليها بعد حل الوكالات الثمانية. وكان أربعة مدراء سابقين لهذه الوكالات قد راسلوا والي الولاية للتدخل فيما يخص الغموض الذي احتواه تقرير محافظ الحسابات متناسيا وكالتي المراهنة وأولاد ادريس التي كان محاسبا لها. وسجل التقرير بأن معطيات الحسابات الموجودة لا تعكس الحقيقة للمبالغ المحصلة وكذا بالنسبة للديون والأعباء التي لم تكن محددة وتطلبت مراجعة الحسابات للنشاطات للفترة الممتدة ما بين 2991و2002. وبخصوص تطهير حسابات الإستثمار جاء في التقرير أن وضعية الحسابات لا تعكس القيمة الحقيقية للعقارات، مستدلا بقيمة مقر الوكالة الذي لم يأخذ في الحسبان أشغال البناء التي أنجزتها المقاولة البلدية. كما يشير التقرير إلى عديد الهفوات والنقائص سواء فيما يتعلق ببيع التحصيصات ومتابعة التحصيل للديون، مع تعرض بعض كتابات رقم الأعمال إلى عدة مرات وكذا عدم وجود رقم أعمال والفواتير بالنسبة لتحصيصات أخرى.


Gréve des enseignants

                                                                                         Le directeur de l’éducation doit partir!



Si non-respect envers des enseignants il y a eu, pourquoi n’y a-t-il pas eu de réaction avant? On a exploité cet incident pour paralyser les lycées au moment où les instructions ministérielles insistent sur la nécessité d’avancer dans les programmes. L’exigence du départ du directeur de l’éducation relève de la cabale et de la manipulation puisque celui-ci, lors des réunions tenues avec les élèves, avait réussi à les convaincre de retourner dans leurs classes, lors de la dernière grève. Chose qui n’a pas plu à certains et voilà où on en est arrivés. Certains enseignants, sous le couvert de l’anonymat, avancent que la réorganisation de la direction de l’éducation, il y a deux ans, s’est fait après le départ de certains fonctionnaires de leurs postes. Certains mécontents ont saisi cette occasion pour en découdre avec le premier responsable du secteur. Une atmosphère délétère empreinte de suspicion et d’accusations mutuelles règne sur ce secteur mis à mal par ces grèves à répétition dont les élèves payent le prix. Mohamed Tahar RAHMANI